COMMUNIQUÉ: Construire des logements, pas de la bureaucratie

Montmagny, le lundi 18 septembre 2023 – Bernard Généreux, député de Montmagny—L’Islet—Kamouraska—Rivière-du-Loup, a soutenu le plan de son chef de parti, Pierre Poilievre, visant à créer des logements abordables en supprimant les barrières bureaucratiques, en accélérant la construction urbaine et en reliant le financement du transport en commun aux progrès de la construction.

Après huit ans sous Justin Trudeau, le coût du logement a doublé, laissant de nombreux Canadiens incapables d’accéder à la propriété ou à la location. Le député exprime sa préoccupation envers ses concitoyens, plus particulièrement les jeunes ménages de sa circonscription qui voient leur rêve de devenir propriétaires se dissiper. « Auparavant, il fallait prévoir 25 ans pour rembourser un prêt hypothécaire, mais aujourd’hui, il faut 25 ans seulement pour économiser en vue d’une mise de fonds. »

Le député continue d’analyser : « L’un des facteurs contribuant à cette augmentation des prix est la rareté des logements, en plus de la hausse des taux d’intérêt et de l’inflation. Pour rétablir l’équilibre sur le marché et atténuer la pression sur les prix, il est essentiel de construire davantage de logements. Cependant, la politique actuelle de construction de logements est inefficace. »

Le secteur de la construction résidentielle au Canada connaît des mois de baisse des mises en chantier, avec une situation encore plus préoccupante au Québec selon une récente étude de la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL). En 2023, la SCHL a estimé qu’il faudrait construire 620 000 logements supplémentaires d’ici 2030 pour rétablir l’abordabilité. Cela représente une livraison additionnelle de 100 000 logements par an. Malheureusement, la construction résidentielle au Québec atteint ses niveaux les plus bas depuis plus de 20 ans, avec seulement 35 000 logements prévus cette année.

Le député partage l’opinion de Pierre Poilievre selon laquelle la lourdeur bureaucratique, les taxes, les délais et les frais entravent la construction au Canada. Les bureaucrates de l’agence fédérale du logement de Trudeau compliquent le financement des constructeurs cherchant à créer des logements abordables. À titre d’exemple, à Toronto, les barrières bureaucratiques et les réglementations ajoutent près de 350 000 dollars au coût moyen d’une maison. À Vancouver, plus de 60 % du coût des logements provient de retards, de frais, de réglementations et de taxes.

En réponse, Trudeau finance ces barrières bureaucratiques avec l’argent des contribuables, accordant près de 27 millions de dollars en primes en 2022. Malgré le doublement des prix des logements, le nombre d’employés de la SCHL gagnant un salaire annuel à six chiffres a augmenté de 27 %. Les dirigeants responsables de l’augmentation des prix des logements touchent désormais plus de 700 000 dollars par an.

Le député soutient fermement le plan de Pierre Poilievre qui propose la Loi sur la construction de logements, pas la bureaucratie. « Cette loi vise à récompenser les municipalités qui atteignent leurs objectifs de construction de logements tout en retirant des financements aux villes et aux obstacles bureaucratiques qui échouent dans cette tâche. Il est temps d’adopter une approche conservatrice de gros bon sens pour résoudre la crise du logement au Canada et mettre les clés dans les portes des logements pour tous! ».

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Contact | An Nguyen, adjointe aux communications (418) 248-1211