C-14 Assisted Dying Bill

Affiche_Bernard Genereux-Gerard Deltell_petitLe député Bernard Généreux a invité son collègue Gérard Deltell de la circonscription Louis-Saint-Laurent à participer à un échange-discussions au sujet de l’aide médicale à mourir (AMM). La rencontre gratuite aura lieu à Montmagny le vendredi 6 mai de 18h à 20h à la salle 302, au troisième étage de l’édifice Amable-Bélanger (6, rue St-Jean-Baptiste est).

Le projet de loi C-14 est présentement en deuxième lecture. M. Deltell a été membre du Comité mixte spécial sur l’Aide médicale à mourir et il a par la suite présenté un rapport dissident en compagnie de trois collègues. Le Parlement a jusqu’au 6 juin pour se doter d’une législation donnant suite à la décision rendue par la Cour Suprême du Canada le 6 février 2015 dans le cadre de l’affaire Carter.

Plusieurs intervenants ont déjà manifesté leurs préoccupations auprès de M. Généreux qui pourra voter librement sur le projet de loi. Conscient qu’il s’agit d’un dossier très délicat et que toutes les opinions doivent être entendues, il invite les citoyens de la circonscription à se déplacer pour entendre M. Deltell et échanger avec eux. « Je veux que les citoyen(ne)s aient droit à un système de protections conçues et surveillées avec soin » souligne M. Généreux.

Dans le rapport dissident, cinq préoccupations ont été soulevées face au rapport du comité mixte présenté en février. Ces cinq observations étaient basées sur l’expérience québécoise qui était le fruit de six ans de travaux parlementaires rigoureux et non partisans. Voici les cinq recommandations du rapport dissident: prodiguer les soins uniquement aux gens majeurs, ne pas les autoriser aux personnes souffrant de maladie mentale, protéger la conscience des médecins, obtenir le consentement à la fin de la vie et améliorer les soins palliatifs.

Monsieur Deltell affirme: “La Cour Suprême nous oblige à adopter une loi sur l’aide médicale à mourir.  La question n’est pas de savoir si on est pour ou contre, mais comment prodiguer cette aide médicale. C’est pourquoi nous devons garder à l’esprit de protéger les plus vulnérables. Quelques-unes de nos recommandations du rapport dissident ont été retenues par la ministre de la Justice Jody Wilson-Raybould. Nous devons poursuivre le dialogue avec tous les Canadien(ne)s et c’est pourquoi j’ai bien hâte d’échanger avec les gens du comté de M. Généreux.”Affiche_Bernard Genereux-Gerard Deltell_petitLe député fBernard Généreux a invité son collègue Gérard Deltell de la circonscription Louis-Saint-Laurent à participer à un échange-discussions au sujet de l’aide médicale à mourir (AMM). La rencontre gratuite aura lieu à Montmagny le vendredi 6 mai de 18h à 20h à la salle 302, au troisième étage de l’édifice Amable-Bélanger (6, rue St-Jean-Baptiste est).

Le projet de loi C-14 est présentement en deuxième lecture. M. Deltell a été membre du Comité mixte spécial sur l’Aide médicale à mourir et il a par la suite présenté un rapport dissident en compagnie de trois collègues. Le Parlement a jusqu’au 6 juin pour se doter d’une législation donnant suite à la décision rendue par la Cour Suprême du Canada le 6 février 2015 dans le cadre de l’affaire Carter.

Plusieurs intervenants ont déjà manifesté leurs préoccupations auprès de M. Généreux qui pourra voter librement sur le projet de loi. Conscient qu’il s’agit d’un dossier très délicat et que toutes les opinions doivent être entendues, il invite les citoyens de la circonscription à se déplacer pour entendre M. Deltell et échanger avec eux. « Je veux que les citoyen(ne)s aient droit à un système de protections conçues et surveillées avec soin » souligne M. Généreux.

Dans le rapport dissident, cinq préoccupations ont été soulevées face au rapport du comité mixte présenté en février. Ces cinq observations étaient basées sur l’expérience québécoise qui était le fruit de six ans de travaux parlementaires rigoureux et non partisans. Voici les cinq recommandations du rapport dissident: prodiguer les soins uniquement aux gens majeurs, ne pas les autoriser aux personnes souffrant de maladie mentale, protéger la conscience des médecins, obtenir le consentement à la fin de la vie et améliorer les soins palliatifs.

Monsieur Deltell affirme: “La Cour Suprême nous oblige à adopter une loi sur l’aide médicale à mourir.  La question n’est pas de savoir si on est pour ou contre, mais comment prodiguer cette aide médicale. C’est pourquoi nous devons garder à l’esprit de protéger les plus vulnérables. Quelques-unes de nos recommandations du rapport dissident ont été retenues par la ministre de la Justice Jody Wilson-Raybould. Nous devons poursuivre le dialogue avec tous les Canadien(ne)s et c’est pourquoi j’ai bien hâte d’échanger avec les gens du comté de M. Généreux.”