A productive meeting between the elected representatives and CWTA

C’est devant plus d’une quarantaine d’élus des paliers municipaux, provinciaux et fédéraux que le président et chef de la direction de l’Association canadienne des télécommunications sans fil (ACTS) Bernard Lord a pris la parole le mardi 26 avril au Centre Bombardier à La Pocatière. Ce dernier y était à l’invitation du député fédéral de la circonscription Montmagny―L’Islet―Kamouraska―Rivière-du-Loup Bernard Généreux, conformément aux engagements de la résolution signée par tous les maires et préfets du comté. Le député néodémocrate Guy Caron ainsi que les représentants des députés provinciaux étaient présents.

D’un côtPhoto2_Bernard Lord Genereuxé M. Lord a été à même de constater la problématique de couverture cellulaire vécue par les usagers du territoire qui ont pris la parole à tour de rôle au micro, puis il a présenté des pistes de solution. Pour le président de l’ACTS, les subventions gouvernementales ne sont pas une option, ce dernier a plutôt proposé quatre alternatives à l’assemblée. Tout d’abord il suggère d’accroître le taux d’amortissement par les équipements de télécommunication de 30 à 50%, multiplier les sites d’antenne pour couvrir le territoire, utiliser des revenus de la vente de spectre pour inciter l’instauration de services dans les zones rurales et mettre sur pied un regroupement de municipalités pour identifier les éventuels besoins en infrastructures à grande échelle. Les trois premières réflexions relèvent davantage du domaine des décisions gouvernementales soutient M. Lord, toutefois la volonté d’action d’une communauté soudée est reconnue pour accélérer le processus de développement des services. M. Lord a donné en exemple le RREO (Réseau Régional de l’Est de l’Ontario), créé par l’Eastern Ontario Wardens’ Caucus dans le but de fournir un meilleur débit et une bande passante plus large à au moins 95% des foyers et entreprises de l’Est de l’Ontario. Le RREO couvre environ 50 000 kilomètres carrés, et dessert une population de plus de 750 000 habitants.

« C’est un pas de plus » affirme le député satisfait. « Maintenant je dois rencontrer les compagnies qui fournissent les services de téléphonie pour en savoir plus sur leurs intentions d’investir dans la région et leurs échéanciers. Je mise sur un travail constructif, et jusqu’à maintenant, cela a porté fruit. »

De la Matapédia à l’Islet des groupes qui militent pour une meilleure téléphonie sans fil étaient aussi présents. Il est fort à parier que les membres du Comité pour le service cellulaire équitable de l’Islet et ceux Comité pour l’accès internet et la téléphonie cellulaire (St-Moïse) Matanie-Matapédia-Mitis uniront leurs efforts à la suite de cette rencontre et que d’autres comités emboîteront le pas.C’est devant plus d’une quarantaine d’élus des paliers municipaux, provinciaux et fédéraux que le président et chef de la direction de l’Association canadienne des télécommunications sans fil (ACTS) Bernard Lord a pris la parole le mardi 26 avril au Centre Bombardier à La Pocatière. Ce dernier y était à l’invitation du député fédéral de la circonscription Montmagny―L’Islet―Kamouraska―Rivière-du-Loup Bernard Généreux, conformément aux engagements de la résolution signée par tous les maires et préfets du comté. Le député néodémocrate Guy Caron ainsi que les représentants des députés provinciaux étaient présents.

D’un côtPhoto2_Bernard Lord Genereuxé M. Lord a été à même de constater la problématique de couverture cellulaire vécue par les usagers du territoire qui ont pris la parole à tour de rôle au micro, puis il a présenté des pistes de solution. Pour le président de l’ACTS, les subventions gouvernementales ne sont pas une option, ce dernier a plutôt proposé quatre alternatives à l’assemblée. Tout d’abord il suggère d’accroître le taux d’amortissement par les équipements de télécommunication de 30 à 50%, multiplier les sites d’antenne pour couvrir le territoire, utiliser des revenus de la vente de spectre pour inciter l’instauration de services dans les zones rurales et mettre sur pied un regroupement de municipalités pour identifier les éventuels besoins en infrastructures à grande échelle. Les trois premières réflexions relèvent davantage du domaine des décisions gouvernementales soutient M. Lord, toutefois la volonté d’action d’une communauté soudée est reconnue pour accélérer le processus de développement des services. M. Lord a donné en exemple le RREO (Réseau Régional de l’Est de l’Ontario), créé par l’Eastern Ontario Wardens’ Caucus dans le but de fournir un meilleur débit et une bande passante plus large à au moins 95% des foyers et entreprises de l’Est de l’Ontario. Le RREO couvre environ 50 000 kilomètres carrés, et dessert une population de plus de 750 000 habitants.

« C’est un pas de plus » affirme le député satisfait. « Maintenant je dois rencontrer les compagnies qui fournissent les services de téléphonie pour en savoir plus sur leurs intentions d’investir dans la région et leurs échéanciers. Je mise sur un travail constructif, et jusqu’à maintenant, cela a porté fruit. »

De la Matapédia à l’Islet des groupes qui militent pour une meilleure téléphonie sans fil étaient aussi présents. Il est fort à parier que les membres du Comité pour le service cellulaire équitable de l’Islet et ceux Comité pour l’accès internet et la téléphonie cellulaire (St-Moïse) Matanie-Matapédia-Mitis uniront leurs efforts à la suite de cette rencontre et que d’autres comités emboîteront le pas.